La « roda »
Le cercle formé par les capoeiristes trouve certainement son origine dans les danses rituelles africaines que les esclaves reproduisaient en captivité. Les portugais séparaient les tribus pour éviter qu’ils ne complotent, les esclaves africains de tribus différentes conviaient donc dans les « senzalas », maison d’esclaves. Ce mélange a dû favoriser l’apparition de la capoeira, car chacun apportait les traditions de sa tribu : de la lutte, des danses et des rituels propres à chaque tribu.
Les capoeiristes forment un cercle. Celui qui tient le berimbau « gunga » est le chef d’orchestre. Il impose aux pratiquants le rythme et le style de jeu.